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1.
Revue de Chirurgie Orthopedique et Traumatologique ; 109(1):73-79, 2023.
Article in English | Scopus | ID: covidwho-2242465

ABSTRACT

Introduction: Il n'existe pas, à ce jour, d'étude évaluant la satisfaction des chirurgiens orthopédistes français au sujet de la consultation vidéo et téléphonique. Pour autant, celle-ci a été encouragée en période de pandémie à coronavirus. Aussi nous avons mené une étude prospective afin d'évaluer: 1) le profil des praticiens ayant eu recours à la vidéotéléconsultation (VTC) au cours de la pandémie au SARS-CoV-2 ainsi que les facteurs susceptibles d'influencer son utilisation, 2) la satisfaction des chirurgiens français ayant réalisé des VTC, 3) les avantages, les limites et l'avenir de la VTC. Hypothèse: Notre hypothèse était que la VTC était suffisamment satisfaisante en orthopédie-traumatologie pour être utilisée dans la pratique clinique courante hors période Covid. Matériel et méthode: Il s'agit d'une enquête nationale réalisée sous la forme d'une Évaluation des Pratiques Professionnelles (EPP). Les chirurgiens orthopédistes et traumatologues français ont été contactés à l'aide d'un questionnaire numérisé par l'intermédiaire de la liste mail d'une partie des sociétés professionnelles et savantes françaises, avec une estimation des chirurgiens atteignables de 2000 praticiens. L'enquête portait sur l'utilisation, les modalités, et la satisfaction vis-à-vis de la VTC des chirurgiens orthopédistes français, et leur profil. Le questionnaire nous permettait d'établir le Net Promoter Score (NPS) évaluant sur en nombre absolu, de -100 à 100, la propension à recommander un service. Résultats: Au total, sur une estimation de 2000 praticiens contactés, 280 (14,0%) ont répondu à notre enquête. L'âge moyen était de 47,7 ± 10,0 (30-84) ans. Le taux d'utilisation de la VTC passait de 8,9% (n = 25/280) avant la pandémie à 55,3% (n = 155/280) au cours de celle-ci. Parmi les 155 praticiens ayant pratiqué la VTC la satisfaction globale retrouvait un NPS de -46,4. Au total 51% (n = 79/155) ont répondu être favorables à poursuivre les VTC hors période COVID. Parmi les utilisateurs de VTC, 50,3% (n = 78/155) décrivaient une perte de temps lors de l'examen clinique en VTC par rapport à une visite en présentiel, et 57,4% (n = 89/155) lors de la visualisation des examens complémentaires. Pour 98,1 % des utilisateurs (n = 152/155), la VTC n'était pas aussi satisfaisante que la consultation en présentiel pour l'examen clinique du patient, et seulement 18,1% (n = 28/155) ont programmé des interventions après une VTC isolée. Conclusion: À ce jour, dans le cadre de l'orthopédie-traumatologie en France, la VTC n'a su satisfaire les chirurgiens en raison d'un examen clinique virtuel et non physique, mais elle reste une solution de recours en cas de pandémie. Niveau de preuve IV;Série prospective sans groupe contrôle. © 2022 Elsevier Masson SAS

2.
Revue de Chirurgie Orthopedique et Traumatologique ; 2022.
Article in English, French | Scopus | ID: covidwho-2150466

ABSTRACT

Introduction: Il n'existe pas, à ce jour, d’étude évaluant la satisfaction des chirurgiens orthopédistes français au sujet de la consultation vidéo et téléphonique. Pour autant, celle-ci a été encouragée en période de pandémie à coronavirus. Aussi nous avons mené une étude prospective afin d’évaluer : 1) le profil des praticiens ayant eu recours à la vidéotéléconsultation (VTC) au cours de la pandémie au SARS-CoV-2 ainsi que les facteurs susceptibles d'influencer son utilisation, 2) la satisfaction des chirurgiens français ayant réalisé des VTC, 3) les avantages, les limites et l'avenir de la VTC. Hypothèse: Notre hypothèse était que la VTC était suffisamment satisfaisante en orthopédie-traumatologie pour être utilisée dans la pratique clinique courante hors période Covid. Matériel et méthode: Il s'agit d'une enquête nationale réalisée sous la forme d'une Évaluation des Pratiques Professionnelles (EPP). Les chirurgiens orthopédistes et traumatologues français ont été contactés à l'aide d'un questionnaire numérisé par l'intermédiaire de la liste mail d'une partie des sociétés professionnelles et savantes françaises, avec une estimation des chirurgiens atteignables de 2000 praticiens. L'enquête portait sur l'utilisation, les modalités, et la satisfaction vis-à-vis de la VTC des chirurgiens orthopédistes français, et leur profil. Le questionnaire nous permettait d’établir le Net Promoter Score (NPS) évaluant sur en nombre absolu, de -100 à 100, la propension à recommander un service. Résultats: Au total, sur une estimation de 2000 praticiens contactés, 280 (14,0 %) ont répondu à notre enquête. L’âge moyen était de 47,7 ± 10,0 (30-84) ans. Le taux d'utilisation de la VTC passait de 8,9 % (n = 25/280) avant la pandémie à 55,3 % (n = 155/280) au cours de celle-ci. Parmi les 155 praticiens ayant pratiqué la VTC la satisfaction globale retrouvait un NPS de -46,4. Au total 51 % (n = 79/155) ont répondu être favorables à poursuivre les VTC hors période COVID. Parmi les utilisateurs de VTC, 50,3 % (n = 78/155) décrivaient une perte de temps lors de l'examen clinique en VTC par rapport à une visite en présentiel, et 57,4 % (n = 89/155) lors de la visualisation des examens complémentaires. Pour 98,1 % des utilisateurs (n = 152/155), la VTC n’était pas aussi satisfaisante que la consultation en présentiel pour l'examen clinique du patient, et seulement 18,1 % (n = 28/155) ont programmé des interventions après une VTC isolée. Conclusion: À ce jour, dans le cadre de l'orthopédie-traumatologie en France, la VTC n'a su satisfaire les chirurgiens en raison d'un examen clinique virtuel et non physique, mais elle reste une solution de recours en cas de pandémie. Niveau de preuve IV;Série prospective sans groupe contrôle. © 2022 Elsevier Masson SAS

4.
Blood ; 138(SUPPL 1):1363, 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1770425

ABSTRACT

Background: Standard chemoimmunotherapy for first-line treatment of follicular lymphoma (FL) achieves high rates of disease control but is not curative and carries significant toxicities including prolonged immunosuppression that may attenuate response to vaccinations (Marcus et al., NEJM 2017). While proteasome inhibitors have shown modest activity in R/R FL (Goy et al., JCO 2005), limited data address their use frontline. The comparatively favorable toxicity profile and convenient oral dosing of ixazomib support its investigation in this space. Methods: We evaluated ixazomib and its combination with short-course rituximab (R) for FL as part of an open-label, phase II investigator-initiated trial at the University of Washington / Fred Hutch Cancer Research Center / Seattle Cancer Care Alliance (NCT 02339922). Eligibility included an indication for treatment per NCCN guidelines and no prior standard systemic FL therapy. Ixazomib was administered at 4 mg orally once a week until disease progression or unmanageable toxicity. One course of R at 4 weekly doses of 375 mg/m2 was added during the 7th 28-day cycle, after an initial 6-cycle “window” on ixazomib alone. Available pretreatment formalin-fixed, paraffin-embedded tissue biopsies were subjected to RNA extraction by standard methods and gene expression profiling (GEP) using the NanoString™ PanCancer IO 360 panel to query pathways in proteasomal degradation and lymphomagenesis. Standard GEP quality control and data processing were performed with the ROSALIND® platform. Patients vaccinated per standard of care for COVID-19 while actively receiving ixazomib and ≥ 6 mo after completing R were evaluated for serologic response ≥ 2 weeks after the final dose of vaccine using the Roche Elecsys® Anti-SARS-CoV-2 S assay against the spike protein receptor binding domain. Results: Twenty pts began therapy between Feb 2017 and January 2020. All had grade I/II FL and FLIPI score was 2 in 20% and ≥ 3 in 20%;FLIPI score in all other patients was 0 or 1. Eleven (55%) pts met GELF criteria for high tumor burden disease including 6 (30%) pts with a tumor mass ≥ 7 cm. Median follow-up was 32.1 months (range 5.7 - 51.6). The ORR by Lugano criteria was 35% (CR 5%) during the ixazomib window and 65% (CR 45%) overall. At data cut (June 15, 2021) all patients were alive and 8 (40%) remained progression-free on treatment (Figure 1). By KM estimate, median PFS was 25.8 mo and median DOR was not reached at a median follow-up of 29.6 mo. As expected, high-grade treatment-related AEs were infrequent for ixazomib and R, including grade ≥ 3 events in 3 unique pts (15%;diarrhea, transaminitis, and cytopenias). No grade ≥ 4 or serious AEs were observed. Toxicities led to study-directed drug interruptions in 4 (20%) pts and dose reduction to ixazomib 3 mg weekly in 2 pts (10%). Higher ORR to ixazomib monotherapy was associated with FLIPI > 1 (p = 0.04) and, by exploratory GEP, downregulation of components of proteasomal degradation and upregulation of NF-KB and chemokine signaling (Figure 2). High tumor burden by GELF (p = 0.89) and tumor mass ≥ 7 cm (p = 0.26) were not associated with ORR to ixazomib. All 6 of 6 patients evaluated to date for response to COVID-19 vaccination, administered at a median of 32.5 mo (range 7.0 - 41.0) after last dose of R, achieved positive anti-spike protein antibodies (median anti-S 163.8 AU/mL, range 13.3 - 1139);none was diagnosed with COVID-19. Conclusions: The simple outpatient regimen of weekly oral ixazomib and the addition of 4 doses of R shows significant long-term activity with low toxicity in untreated FL. Extended DOR is achievable especially in patients who respond to ixazomib monotherapy. Ixazomib efficacy was associated with higher FLIPI scores and gene expression signatures implicated in proteasomal degradation and B-cell signaling pathways. Ixazomib deserves further investigation as a biomarker-driven therapeutic in untreated FL, particularly as an option that prioritizes outpatient management and serologic responsiveness to im unization. (Figure Presented).

5.
J Laryngol Otol ; 134(8): 661-664, 2020 Aug.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-604804

ABSTRACT

BACKGROUND: The following position statement from the Union of the European Phoniatricians, updated on 25th May 2020 (superseding the previous statement issued on 21st April 2020), contains a series of recommendations for phoniatricians and ENT surgeons who provide and/or run voice, swallowing, speech and language, or paediatric audiology services. OBJECTIVES: This material specifically aims to inform clinical practices in countries where clinics and operating theatres are reopening for elective work. It endeavours to present a current European view in relation to common procedures, many of which fall under the aegis of aerosol generating procedures. CONCLUSION: As evidence continues to build, some of the recommended practices will undoubtedly evolve, but it is hoped that the updated position statement will offer clinicians precepts on safe clinical practice.


Subject(s)
Audiology/methods , Betacoronavirus/isolation & purification , Coronavirus Infections/prevention & control , Otolaryngology/methods , Pandemics/prevention & control , Pneumonia, Viral/prevention & control , Audiology/standards , COVID-19 , Child , Child, Preschool , Coronavirus Infections/epidemiology , Coronavirus Infections/virology , Deglutition Disorders/diagnosis , Deglutition Disorders/surgery , Deglutition Disorders/virology , Europe/epidemiology , Humans , Mandatory Testing/standards , Otolaryngology/standards , Pediatrics/standards , Personal Protective Equipment/standards , Personal Protective Equipment/supply & distribution , Pneumonia, Viral/epidemiology , Pneumonia, Viral/virology , Practice Guidelines as Topic , SARS-CoV-2 , Societies, Medical/organization & administration , Voice Disorders/diagnosis , Voice Disorders/surgery , Voice Disorders/virology
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